SENTIER GR3

La France est sillonnée par environ 21 000 km de sentiers dit “de Grande Randonnées” numérotée de 1 à 10. Le GR3 part du Mont Gerbier de Joncs, suit approximativement la Loire et pénètre dans notre département à Oudon.

Il traverse notre commune de l’Ouzinière à la Sencive, garde le Sillon jusqu’à Savenay, bifurque vers la Brière et Guérande avant de se terminer à La Baule face à l’Océan.

En Loire-Atlantique, c’est en 1947 que Stany Gauthier délégué T.C.F, organisa les tracés et balisage du GR3. Il édita en 1948 un feuillet topo-guide pour la portion Nantes-Montluc.

C’est à St Etienne de Montluc en 1972 qu’une équipe issue de la commission extra-municipale d’urbanisme a repris le flambeau pour défricher la traversée de notre commune et au-delà.

Le ton était donné à d’autres bénévoles pour compléter et baliser son tracé dans le département.

Le GR3, sentier national, fut inauguré officiellement au lac de Savenay, le 15 Mai 1983.

Bulletin municipal de

le marais

Les premières mentions de travaux d’aménagement dans ces marais remontent au Moyen Âge et sont le fait des religieux de l’abbaye cistercienne de Buzay qui ont valorisé les îles et le rivage du fleuve.

Une nouvelle phase d’assèchement débute au XVIIIe siècle pour aboutir au XIXe siècle aux marais actuels.

La compagnie afféagiste Morville-Babin les aménage entre 1818 et 1821 avec, notamment, la construction des écluses de Vair et du Dareau en 1820. Le secteur de la Grande Vallée ne le sera qu’au milieu du XXe siècle. Gestionnaires.

En 1818, est créé le syndicat des marais et de Saint-Etienne/Couëron puis, en 1840, suivront ceux du Couleuvrou et de l’étier de Vert (ou Vair) par ordonnances royales.

Un siècle plus tard sera créée l’Association Foncière de Remembrement (AFR) de la Musse par arrêté préfectoral en date du 18 octobre 1957.

Depuis le 26 janvier 2011, ces 4 structures syndicales ont fusionné pour donner naissance à l’association syndicale des marais de Saint-Etienne et Couëron qui gère et entretient, désormais, l’ensemble de ce territoire.

Richesse naturelle qu’il convient de préserver, le marais abrite aujourd’hui de nombreuses espèces d’oiseaux et palmipèdes.

Lieu de pâture pour les bovins, c’est aussi le paradis des promeneurs à pied ou à vélo.

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